La maison des fessées

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il y a 4 ans

C'était une maison bourgeoise comme il y en avait tant dans les petites villes de provinces, dans un quartier un peu retiré du centre ville, sans être dans la banlieue. Cela sentait bon le début du XXème siècle, le calme, une vie tranquille.

Rien ne distinguait cette maison si ce n'est qu'elle était ceinte d'un mur suffisamment haut pour cacher la vue du jardin. Une haie d'arbres dépassait largement de cette clôture montrant le soin que les habitants avaient eu à se créer un espace d'intimité. Cette ceinture végétale entourait la propriété et il était patent que ce qui s'y déroulait se faisait sans que les voisins puissent en être les spectateurs. La façade donnant sur la rue. Les fenêtres étaient occultées par des rideaux qui ne laissaient rien entrevoir de son intérieur.

Cela donnait une impression de renfermé, pas vraiment une prison, il y manquait les accessoires indispensables à cette fonction, mais plutôt une résidence dans laquelle il n'était pas aisé ni de pénétrer, ni de sortir sans autorisation. Cela avait un air strict, rigide, un peu suranné, une maison qui devait accentuer le caractère respectable de son propriétaire dans les années 50.

J'aurais pu hésiter longuement pour la différencier de ses voisines si je n'avais eu que sa description. Elle portait heureusement un numéro et une plaque discrète indiquant que, comme pour beaucoup de ses voisines, les propriétaires, il y a quelques années si on en juge par l'état de la plaque, avaient cru bon de lui donner un nom : Villa des Myosotis.

Vendredi soir. 17h15 passées. J'étais en retard d'un bon quart d'heure. J'avais pensé que circuler en voiture, un vendredi soir, aux alentours d'une petite ville de l'est de la France se ferait aisément. Mal m'en avait pris. Il y avait certes, moins de monde qu'à la sortie de la région parisienne, mais les artères permettant d'écouler le flot des voitures étaient proportionnées en conséquence. J'avais dû patienter derrière un voiture qui patientait derrière une autre qui elle même, …, bref j'y avais perdu la demi-heure de marge que je m'étais donné en précaution des aléas liés aux déplacements.

Bien que je me sois muni d'un plan de la ville, j'avais tourné dans le centre ville tentant vainement de prendre la direction du quartier dans lequel se tenait la maison où j'avais rendez-vous.

Le temps de me garer et je me tenais devant la porte de la villa, ma valise à la main. Je devais y séjourner les deux prochains jours, jusqu'à dimanche 17 heure, comme le précisait l'invitation. Peut-être devrais-je dire la convocation que j'avais reçue par courriel, tant son ton était sec et ne laissait pas de doute sur ce qui m'attendait ce week-end.

Il y avait eux marches à monter. J'hésitais encore. Appuyer sur la sonnette et je ne maîtrisais plus ce qui pouvait m'arriver ces deux prochains jours. Je pouvais encore faire marche arrière. Un couple sortit d'une maison; un peu plus haut dans la rue et se dirigea vers moi. Je ne pouvais pas attendre qu'ils soient à ma hauteur pour me décider. Je risquais de provoquer leur étonnement à me tenir, visiblement hésitant, devant la porte d'une maison voisine, une valise à la main. "La discrétion lors de votre arrivée à la villa est impérative. A défaut l'accès à la propriété vous sera refusée".

Je n'avais pas fait attention à la jeune femme qui arrivant de l'autre bout de la rue, venait de traverser dans mon dos. Elle portait également une valise dans sa main droite. Elle eut quelques secondes d'indécision lorsqu'elle arriva à ma hauteur, durant lesquelles elle m'examina des pieds à la tête. Puis elle me contourna et appuya sur la sonnette.

Bien qu'il n'y eût pas de bruit audible de l'extérieur, la porte s'ouvrit immédiatement. Dans son encadrement se tenait une femme à laquelle il était difficile de donner un âge. Je remarquais tout d'abord la bande de tissu blanc recouverte d'un voile noir qui lui enserrait très étroitement la tête, dissimulait ses cheveux et qui tombait sur ses épaules. Les traits de son visage étaient comme effacés par tout ce blanc ce qui lui donnait un teint blafard. Une grande robe noire lui tombait si bas sur les chevilles qu'il était impossible de voir ses chaussures.

Des plis réguliers descendaient de la taille du vêtement et lui donnaient une impression de rigueur et de lourdeur dont la plus petite trace de fantaisie était absente. Sur le devant de ce vêtement, elle portait un large tablier d'un blanc immaculé qui descendait presque jusqu'en bas de la robe. Son habillement était complété par une cordelette qui lui entourait la taille et au bout de laquelle, sur le côté, pendait une croix en bois.

Cette carapace ne laissait apparents que le visage et les mains et dissimulait totalement les formes féminines, si tant est qu'il y eût une femme sous un tel uniforme. A l'arrivée de ce personnage, ma voisine et moi restâmes ébahis.

  • Voici nos deux derniers pensionnaires, les deux retardataires !

Elle consulta une liste qu'elle tenait à la main et nous demanda :

  • Votre nom, jeune fille ?

  • Bénédicte Pageais, Madame, répondit la jeune fille

  • On dit "ma sœur" ! Et que je ne vous le redise plus ! Est-ce compris ?

  • Oui, répondit la jeune fille dont la voix avait perdu de l'assurance.

  • Oui qui ?

Bénédicte eut un petit instant d'hésitation avant de se reprendre.

  • Oui, ma sœur !

  • Nous allons avoir du travail pour vous apprendre à vous adresser correctement à vos professeurs, jeune fille.

Le ton n'appelait pas de réponse. La menace voilée était explicite pour qui savait ce qui se passait derrière ces murs anonymes.

  • Et vous, jeune homme, quel est votre nom ?

  • Marc Duteil, ma sœur !

La rebuffade qu'avait subie ma voisine m'avait servi de leçon. J'étais encore trop sous le choc de cet accueil pour être capable de régir autrement qu'en me conformant aux consignes de la religieuse qui nous avait accueillis.

  • Voici donc bien les deux derniers attendus. Parfait.

Elle consulta une pendule accrochée au mur.

  • 17h25, soit 25 minutes de retard. Vos camarades vous ont attendus; Nous règlerons cela dans un petit moment.

Je pris alors conscience de la présence de plusieurs personnes silencieuses, assises sur des bancs le long des murs de ce qu'on pouvait appeler un hall d'entrée, quoique le terme fût un peu prétentieux pour une pièce aux dimensions modestes. Chacun avait, posé à côté de ses pieds, une valise qui ressemblait fort à celle que je tenais encore à la main.

Il y avait 5 femmes et 2 garçons. Au jugé je donnais environ 25 ans aux deux plus jeunes, un garçon assis au bout d'un des bancs et Bénédicte ; les plus âgées, deux femmes, avaient environ 45 à 50 ans, c'est-à-dire approximativement le même âge que moi. Les garçons, moi y compris, portaient un pantalon court s'arrêtant au dessus des genoux.

Toutes les filles avaient une jupe plissée descendant juste en dessous de leurs genoux ce qui leur donnait un petit côté rétro. Je remarquais alors que nous avions tous respecté le code vestimentaire qui nous était imposé dans la convocation : le bas, jupe ou pantalon, bleu marine de la même couleur que le blaser ; chemise ou corsage blanc. Nous portions tous une cravate noire, courte pour les filles et longue pour les garçons. A nos pieds, nos chaussures noires et bien cirées étaient surmontées de courtes chaussettes blanches.

La sœur prit la direction des opérations :

  • Tout le monde debout, prenez votre valise. En rangs, deux par deux !

Nous nous regardâmes interloqués un court instant, puis comme aucun d'entre nous ne protestait, il fut évident que nous étions tous là pour la même raison. Les rangs se formèrent au hasard, chacun se plaçant à côté de son voisin ou de sa voisine la plus proche. Je me retrouvais au milieu du rang, côtoyant une femme blonde plus jeune que moi. J'appris, par la suite qu'elle s'appelait Clarisse.

  • Je vous conseille, dorénavant d'être silencieux dans les rangs.

La sœur nous fixa attentivement, cherchant, sans doute, celui ou celle qui oserait défier son autorité. Satisfaite de son examen, elle ordonna :

  • Avancez jusqu'à la porte de la salle de classe.

Elle désignait un endroit qui ne se trouvait pas à plus de trois ou quatre mètres des premiers du rang; Parcourir cette distance ne nous prit que quelques secondes durant lesquelles seuls les frottements des chaussures s'entendaient tant le silence était profond. Les deux files parallèles que nous constituions s'arrêtèrent devant la porte, sur un simple geste de la sœur.

En quelques minutes, la petite dizaine d'adultes que nous étions, avait été transformée en élèves obéissant au doigt et à l'œil comme certainement il n'en existait plus dans aucune autre classe depuis belle lurette. Il est vrai qu'il n'y avait plus, non plus, de professeurs ressemblant à celui qui nous supervisait.

  • Vous allez entrer silencieusement dans la classe et prendre place là où votre nom est indiqué.

Sur ces mots, la sœur ouvrit la porte et l'un après l'autre, sans le moindre soupçon de bousculade, nous pénétrâmes dans la pièce. C'était à l'évidence une salle de classe : tableau noir, estrade, bureau pour le professeur, tables d'écoles pour les élèves, … tout y était. Un grand crucifix était fixé au dessus du tableau, comme pour nous rappeler là où nous étions.

Cette pièce avait dû, à l'origine, servir de salon. Mais sa transformation en salle de classe avait l'objet d'une attention sourcilleuse. Au mur pendaient des cartes de géographie représentant la France et ses départements; l'un des côtés était occupé par ces images d'Épinal censées représenter des scènes courantes de la vie quotidienne. Un compas, une règle et un rapporteur en bois étaient suspendus à un crochet près du tableau. La traditionnelle armoire vitrée contenait visiblement ce qui allait nous servir de livres d'école avait été placée au fond de la classe.

Il y avait deux rangées de trois tables, chacune prête à accueillir deux élèves. Je trouvais mon nom sur une table au deuxième rang de la rangée près de la fenêtre. A mon côté s'installa l'une femme qui avait environ mon âge. "Claudine Pignon" puis-je lire sur la feuille placée sur sa table. La jeune femme qui s'installait à ma droite dans l'autre rangée de tables émit un commentaire.

  • Ma sœur, il y a une faute à mon nom ! C'est avec un "c, k" et non "q, u, e" et je …

  • Mademoiselle, quel est votre nom, l'interrompit la sœur qui avait pris place sur l'estrade ?

Dans la salle, plus personne ne bougeait. Nous sentions bien que la jeune fille venait de commettre une erreur.

  • Frédérick Magnant, ma sœur, mais je …

  • Vous ai-je autorisé à parler, Mademoiselle Magnant ?

  • Non ma sœur, mais c'est que …

  • Silence !

Il y avait une telle f o r c e dans la façon qu'eut la sœur pour dire ce simple mot que Frédérick se tut. Je me rendis alors compte que la sœur n'avait pas eu besoin d'élever la voix pour ramener au silence une femme qui visiblement avait plus de trente ans, comme si elle n'avait été qu'une petite fille. Compte tenu du ton qu'elle employait, je ne me serais pas risqué à encourir son courroux. Le silence absolu, sans qu'aucun de nous n'osa bouger, se prolongea plusieurs longues secondes.

  • Apprenez, Mademoiselle Frédérick Magnand avec "c, k" que nul n'est autorisé à parler sans en avoir reçu l'autorisation expresse. Quand vous penserez que vous avez quelque chose de suffisamment important à dire pour que cela intéresse l'ensemble de vos condisciples, en silence, vous lèverez le doigt. Vous attendrez alors qu'un professeur vous autorise à vous exprimer. Vous vous lèverez alors de votre pupitre, et bras croisés, vous pourrez alors prendre la parole. Tout manquement à cette règle se traduira par une punition. Et cela est valable pour vous tous.

Son regard balaya la pièce, captant le regard de chacun des élèves assis devant elle qui se tenaient coi.

  • Quant à vous, Mademoiselle Magnand, j'aurai pu passer sur cette faute si vous étiez revenue à un comportement acceptable suite à ma première interpellation. Vous avez persévéré, je ne peux laisser cela passer. Vous serez punie. Nous verrons cela tout à l'heure.

Les menaces devenaient explicites. Elles auraient pu paraître incongrues alors qu'elles s'adressaient à des adultes auxquelles aucune punition n'avait dû être promise depuis bien longtemps. Nos réactions, autant individuelles que collectives, montraient, au contraire, que la perspective d'être puni était loin de nous laisser indifférents. Les remontrances de la sœur qui nous grondait comme des e n f a n t s, semblaient, du coup, tout à fait adaptées à la situation.

  • Mesdemoiselles et messieurs, qui vous a dit de vous asseoir ?

Dans un bel ensemble nous nous levâmes tous.

  • Quand vous entrerez en classe, chacun ira se placer immobile près de son pupitre, debout, bras croisés et bien entendu, en silence. C'est une question de respect dû aux professeurs. Ici, ceux qui l'ont oublié vont le réapprendre. Vous attendrez alors l'ordre de vous asseoir ce que vous ferez sans bruit.

De son regard, elle fit le tour de la classe. Aucun de nous n'osa baisser les yeux.

  • Est-ce compris ?

Il y eut un moment de flottement. Personne ne savait ce qu'il fallait faire.

  • Lorsque je questionne la classe, je veux une réponse immédiate et collective. J'attends.

  • Oui, ma sœur !

Le chœur n'était pas au point. Certains étaient partis en avance, d'autres en retard. Cela ne donnait pas l'impression d'un ensemble.

  • Mieux que cela !

  • Oui, ma sœur !

Cette fois la coordination était presque satisfaisante.

  • Encore une fois !

  • Oui, ma sœur !

Nous y étions : le silence, la réponse collective, puis de nouveau le silence.

  • C'est bien. Asseyez-vous !

Les chaises et les tables étaient fixées solidairement. Il n'y eut donc d'audibles que les légers froissements de nos vêtements sur le bois des chaises. Le silence se fit aussitôt.

  • Je vais chercher la mère supérieure. Je serai donc absente durant quelques instants. Il va de soi que tout bavardage sera puni.

D'un regard, elle vérifia qu'elle avait toute notre attention, puis elle sortit de la classe.

La tension baissa aussitôt. Nous avions maintenant le temps de faire le tour de notre univers de ces deux prochains jours. Je commençais par examiner les visages qui m'entouraient, observant avec curiosité ceux et celles qui s'étaient placés dans cette situation pour le moins inhabituelle. Nous nous dévisagions, chacun renvoyant aux autres leur étonnement d'être là et de ne pas y être seul.

L'une des filles assise au premier rang, l'une de celles qui avait mon âge, chuchota suffisamment fort pour que tous l'entendent :

  • Oh, il y a même un bonnet d'âne !

Elle désignait une coiffure avec deux longues oreilles qui était posée sur un petit meuble. Il n'y avait pas de doute : c'était un bonnet d'âne. Il complétait harmonieusement le tableau.

La sœur revint dans la classe, précédée par une autre religieuse habillée pareillement. L'âge de cette dernière ne laissait aucun doute. Elle avait au moins 50 ans, mais guère plus. Les petites lunettes qui étaient posées sur son nez avaient certainement tendance à la vieillir. Elle s'arrêta après avoir fait deux pas dans la classe et nous toisa d'un air on ne peut plus sévère. La sœur qui la suivit prit un air furieux

  • Effrontés ! levez-vous tout de suite !

Il va sans dire qu'il ne nous fallu qu'une fraction de seconde pour tous se tenir dans la position exigée : debout à côté de notre pupitre, bras croisé et observant le plus profond silence. D'une voix toute douce, la mère supérieure prit la parole :

  • Sœur Gabrielle, vous allez devoir apprendre à ces chenapans qu'on se lève sur le champ quand un adulte entre dans la classe. Mettons que nous mettrons cette insolence sur le compte de leur ignorance … pour cette fois. Si cela devait se reproduire, je vous demanderai de leur infliger une punition collective.

  • Bien, ma mère !

  • Asseyez-vous jeunes gens. Avant que je ne commence, voulez-vous régler cette histoire de bavardage ?

  • Si vous m'y autorisez, ma mère.

  • Faites donc.

Sœur Gabrielle se tourna alors vers nous tandis que la mère supérieure prenait place derrière le bureau.

  • Qui s'est permis de parler durant mon absence ? Je veux que le coupable, ou peut-être devrais-dire la coupable se dénonce.

Un silence religieux accompagna cette déclaration. Il y avait de la punition dans l'air.

  • Personne ?

Sœur Gabrielle laissa de nouveau le silence s'installer.

  • Bon voici donc ce qui va se passer. Etant donné que la coupable ne veut pas se dénoncer, tous les élèves de la classe seront punis. Et sévèrement ! Comme je connais le nom de la coupable, une fois la punition collective administrée, nous passerons alors à la punition particulière de celle qui aura laissé punir tous ses camarades. Et cette punition là, je peux lui promettre qu'elle ne l'oubliera pas de si tôt. Alors, toujours pas de coupable ?

Tous nos regards convergeaient vers la femme, au premier rang qui n'avait pu retenir son exclamation à la vue du bonnet d'âne, la désignant ainsi à sœur Gabrielle. Il suffit d'un regard direct et insistant de la religieuse pour que la coupable fonde en larmes.

  • C'est moi, ma sœur, commença-t-elle …

  • Silence !

La femme ainsi interpellée resta sans voix.

  • Avez-vous oublié, Mademoiselle, qu'on lève le doigt avant de prendre la parole ? J'attends !

Le doigt de l'élève ainsi désignée se leva.

  • Quel est votre nom, mademoiselle ?

  • Domi …

  • Vous tenez absolument à être punie, Mademoiselle ! Mettez-vous debout avant de vous adresser à un professeur.

La femme qui n'avait sans doute plus été appelée demoiselle depuis de nombreuses années prit la position exigée.

  • Votre nom ?

  • Dominique Fatisse, ma sœur.

Sa voix était tremblante. Je sentais qu'elle était au bord des s a n g lots.

  • Qu'aviez-vous donc à dire ?

  • C'est moi, ma sœur, qui ai parlé à propos du bonnet d'âne.

  • A la bonne heure, enfin des aveux. J'aurai pu être clémente si vous vous étiez dénoncée du premier coup. Vous auriez reçu une petite punition. Maintenant, c'est différent. Vous n'avez avoué votre faute que contrainte et f o r c é e, au risque de faire punir tous vos camarades. Cela mérite une punition exemplaire. Rasseyez-vous.

  • Et bien, sœur Gabrielle, quatre punis alors que cela ne fait pas une heure qu'ils sont dans l'établissement ! J'ai l'impression que cette classe va vous donner du travail.

  • En effet, ma mère, mais je compte bien améliorer notablement leur comportement d'ici dimanche soir.

Je ne compris pas, de prime abord, pourquoi elles parlaient de quatre punis. Il y avait bien Fédérick et Dominique dont les punitions avaient été annoncées. Qui étaient les deux autres ? Il me fallut un moment pour trouver la réponse à cette question. Les deux autres punis étaient les retardataires : Bénédicte et moi.

  • Bon, Passons aux formalités. Sœur Gabrielle, voulez-vous distribuer les formulaires ?

La religieuse déposa un feuillet devant chacun de nous que nous commençâmes à lire.

Je soussigné ......................... , adulte sain de corps et d'esprit, déclare reconnaitre l'autorité légitime des religieuses durant mon séjour dans leur couvent. Je déclare donc accepter, à n'importe quel moment et en n'importe quel lieu, toute punition qu'elles estimeront nécessaire de m'infliger pour désobéissance, comportement inadéquat, travail ou résultats scolaires insuffisants ou pour tout autre motif laissé à l'appréciation de la ou les personnes dépositaires de l'autorité.

La nature de ces punitions sera de celles qu'on administre traditionnellement aux e n f a n t s, à savoir et en tout premier lieu, la fessée. Celles-ci me seront infligées généralement devant mes condisciples présents et après avoir préalablement baissé ma culotte. Si nécessaire, en fonction de ce qui l'a motivée et pour en renf o r c e r la sévérité, des instruments punitifs pourront être utilisés en complément ou à la place de la main nue : règle, martinet, ceinture, baguette, verges … et tout autre objet servant habituellement à fesser les e n f a n t s.

Les fessées que j'aurais méritées me seront administrées effectivement. Elles ne seront pas simulées. Leur durée et leur f o r c e dépendra de ce qui les a rendues nécessaires, donc laissées à l'appréciation de la personne dépositaire de l'autorité et chargée d'administrer la correction. En conséquence, il est habituel et souhaitable que pendant et à l'issue d'une punition, mes fesses soient fortement douloureuses, rougies et brûlantes et, éventuellement, portent les marques de la correction reçue dans des limites acceptables, c'est-à-dire sans que cela ne provoque de blessure.

S'il est normal que je me débatte, que je supplie et que je pleure durant l'application de la punition, compte tenu de la douleur qu'elle infligera, en aucun cas, cela ne doit gêner son déroulement, en particulier, il m'est interdit de me dégager de la position punitive dans laquelle j'aurai été placé (allongé à plat ventre en travers des genoux, courbé sous le bras, à plat ventre sur le bureau, …).

La fessée pourra être complétée, à l'appréciation de la personne qui l'a administrée, par des séjours au coin ou au piquet dont la durée peut être variable. Dans la plupart des cas, ma culotte y restera baissée. Ils permettront :

o d'exposer à mes condisciples les effets visibles de la fessée afin de les aider à améliorer leur comportement,

o pour mes professeurs de vérifier que la sévérité de la fessée a été satisfaisante et adaptée,

o et à moi de réfléchir à ce qui a motivé ma punition et à la légitimité de la correction reçue.

Bien entendu, toute autre punition destinée à corriger le comportement des e n f a n t s, pourra m'être imposé (lignes à copier, travail supplémentaire à effectuer, …)

La soumission à la fessée, quelle que soit sa sévérité, est la règle. A défaut, une correction exceptionnelle me sera administrée à l'aide d'une canne flexible, comme cela se pratiquait dans les collèges anglo-saxons. Toute résistance lors de cette correction exceptionnelle, provoquera l'exclusion du contrevenant. Dans ce cas, les sommes réglées pour couvrir les frais du séjour ne me seront pas remboursés.

Je reconnais me soumettre de façon consentante aux fessées et autres punitions que j'aurai méritées durant mon séjour.

Fait à : le :

Signature (précédée de" lu et approuvé" et suivi du nom et du prénom du signataire en toute lettres)

Pour moi et probablement pour aucun de mes condisciples, il n'y avait là quoique que ce soit de nouveau. Ce programme était annoncé clairement lorsque je m'étais inscrit. Toutefois, nous rentrions dans le vif du sujet. Si j'avais versé un acompte lors de mon inscription, et si je connaissais les règles générales du séjour, c'était autre chose de les voir inscrites noir sur blanc devant moi et de signer mon assentiment. Cela rendait les choses plus concrètes, plus réelles.

La mère supérieure qui nous avait laissé le temps de prendre connaissance du document, reprit la parole.

  • Je pense que tout le monde a pu lire le texte qu'il a sous les yeux. Avant que vous ne le signiez, je tiens à préciser quelques points. Il est encore possible, pour ceux qui le souhaitent, de faire marche arrière. Il suffit maintenant de se lever, de prendre sa valise et de sortir. Au-delà du fait qu'il perdra alors son acompte, il n'y aura pas d'autres conséquences. Si vous signez ce document, vous vous engagez pour la totalité du séjour et il 'y aura plus de retour en arrière possible. Soyez alors sûrs, qu'à un moment ou à un autre, durant votre séjour, chacun d'entre vous sera fessé. Il est plus que probable que vous le serez à plusieurs reprises, notre niveau d'exigence étant très élevé. Je peux vous assurer que les fessées sont bien réelles et que généralement, les punis finissent une correction en s a n g lots. La plupart d'entre vous partiront dimanche soir avec des marques sur les fesses. Vous asseoir provoquera une gêne toute la journée de lundi et j'espère que vous n'avez pas prévu de porter publiquement un maillot de bain dans les premiers jours de la semaine prochaine. Cela pourrait vous attirer des questions gênantes.

Elle nous laissa un temps m o r t pour absorber ces informations. Elle reprit :

  • Certains d'entre vous nous sont envoyés par leur conjoint, n'est-ce pas ?

Elle regardait ma voisine et le l'homme qui était assis devant moi. Ils rougirent tous les deux de se voir ainsi désignés.

  • D'autres par leurs parents, suite, certainement à des désobéissances. Nous nous faisons forts de vous réexpédiez chez vous avec des habitudes d'obéissance plus ancrées dans votre petite tête.

Elle regarda les deux plus jeunes, ce qui était attendu, mais également Dominique qui baissa les yeux.

  • Je ne sais pas Frédérick ce qui a motivé votre sœur à vous inscrire, mais soyez sûre qu'elle sera satisfaite de votre séjour. Quant à vous, Mathilde, je sais pourquoi votre directrice vous a adressée à nous. Avouez que c'est mérité. A moins que vous ne préfériez subir les conséquences de vos négligences répétées ? Vous êtes la seule ici qui n'ayez pas besoin de signer le papier qui est devant vous. Cela a été fait lors de votre premier séjour chez nous.

Puis, se tournant vers nous :

  • Mathilde a pris une sorte d'abonnement financé par sa directrice; elle vient chaque week-end, y compris lorsque nous n'accueillons pas d'autres pensionnaires; Combien de fois devez-vous encore venir nous voir ?

Mathilde se leva et prit la position adéquate;

  • Quatre fois ma mère.

  • Comme lors de vos précédents séjours, vous serez fessée chaque matin en vous levant et chaque soir avant de vous coucher. Vous n'oublierez pas de demander à sœur Gabrielle de vous administrer ces punitions; De plus, dimanche midi vous recevrez la canne devant tous vos camarades. Etes-vous toujours d'accord pour subir ce week-end la suite de votre punition ? Je vous rappelle que si vous le souhaitez, il vous est possible de partir dès maintenant.

  • Non, ma mère, je veux rester.

  • Votre directrice vous a-t-elle administré la fessée cette semaine comme je le lui avais recommandé ?

  • Oui, ma mère.

  • Combien de fois ?

  • Six fois, ma mère ?

  • Bien, vous a-t-elle baissé la culotte à chaque fois ?

  • Oui, ma mère.

  • S'est-elle servie du martinet ?

  • Oui, ma mère.

  • Bien, je pense que vous allez devenir l'une des secrétaires les plus zélées. Je recommanderai à votre directrice de continuer à vous fesser autant que nécessaire lorsque vos séjours chez nous seront achevés. Je pense que vous n'y verrez pas d'inconvénients ?

  • Non, ma mère.

  • Dernière chose vous concernant, votre place n'est pas dans cette classe. Vous irez rejoindre sœur Françoise à la cuisine. Vous la seconderez et exécuterez toutes les tâches qu'elle vous confiera. Elle connait votre situation et je lui ai demandé d'être très sévère avec vous, en particulier sur la qualité de votre travail, surtout quand vous aurez à effectuer les travaux qui vous rebutent. Vous ne rejoindrez vos camarades que le soir au dortoir. Est-ce bien compris, Mathilde ?

  • Oui, ma mère.

  • Prenez donc vos affaires et aller vous placer sous les ordres de sœur Françoise.

La jeune femme sortit de la pièce, suivie par tous nos regards. La mère supérieure se tourna alors de nouveau vers nous.

  • Il reste deux de nos pensionnaires qui apparemment sont venus de leur propre chef.

Je connus alors à mon tour le désagrément d'être le sujet unique d'attention de la mère supérieure. Je ne pus m'empêcher de frissonner. Puis son regard se tourna alors vers Clarisse qui subit le même examen.

  • Sans doute, ont-ils tous deux pensé qu'un peu de discipline leur ferait du bien. Nous allons nous y employer.

Son regard balaya encore une fois toute la classe.

  • Jeunes gens, il faut vous décider maintenant. Soit vous quittez cette classe, soit vous signez le document placé devant vous et vous vous préparez à être traités comme des e n f a n t s durant ces deux jours, ce qui veut dire recevoir la fessée dès que nous le jugerons nécessaire.

Je regardais la feuille placée devant moi sur mon pupitre. Je savais que ma décision était prise depuis que j'avais rempli le formulaire d'inscription il y avait de cela plus d'un mois. Ma fascination de la fessée n'avait jamais trouvé d'exutoire. J'avais eu connaissance, sur internet, de l'existence de ce couvent qui se proposait d'organiser des stages d'apprentissage de la discipline pour des adultes en les plaçant dans les conditions d'un pensionnat religieux des années 50. L'éducation proposée se voulait très traditionnelle et des plus strictes, basée sur l'obéissance, le respect des professeurs, l'exigence d'un comportement irréprochable et de résultats scolaires de haut niveau. Il n'était pas fait mystère que la fessée était la punition habituelle et qu'elle était administrée en public, la culotte baissée comme cela se pratiquait dans les institutions religieuses les plus conservatrices de l'époque.

Toutefois, il y avait un écart entre accepter, intellectuellement et à distance de recevoir éventuellement la fessée et de savoir que si je signais ce papier, j'étais sur la liste des futurs punis. Pourtant, je ne me voyais pas reculer maintenant, quelle que soit la peur de la fessée qui commençait à me nouer l'estomac.

J'aurai préféré assister, en tant que spectateur, à une première fessée avant de m'engager. Les sœurs avaient choisi, certainement à dessein, de n'en rien faire. Je devais me décider malgré l'incertitude et non seulement pour la fessée qui m'était promise et que je pressentais imminente, mais encore pour les suivantes qui risquaient de m'être infligées durant ces deux jours.

Qui serait ma correctrice, sœur Gabrielle, la mère supérieure ? Sera-ce une fessée déculottée ? Administrée devant toute la classe ? En réfléchissant bien, je connaissais la réponse à ces deux questions, elle était évidente. Saurai-je me comporter dignement ? Accepter la punition courageusement ? La douleur et l'humiliation me contraindraient-elles à supplier ma correctrice de m'épargner ? Saurai-je retenir mes s a n g lots ?

Malgré toutes ces questions et mon angoisse montante, je signais.

  • Sœur Gabrielle, poursuivit la mère supérieure, pouvez-vous recueillir les documents et vérifier que tous ont été signés dans les formes ?

Il ne manqua pas une signature. Mes sept condisciples avaient fait le même choix que moi.

  • Chacun est bien conscient qu'il est maintenant placé sous notre autorité jusqu'à dimanche soir et que nous n'hésiterons pas à en user ?

Il y eut un silence pesant.

  • Avez-vous oublié que vos professeurs attendent des réponses aux questions qu'ils posent ! Allons !

  • Oui, ma mère !

Dans un bel ensemble nous nous étions tous levés et debout à côté de notre table, bras croisés, nous avions confirmé par notre réponse notre soumission à l'autorité des sœurs.

  • Bien, voila qui est fait. Passons à la vérification des valises. Prenez votre valise et posez-la sur votre table.

Comme mes compagnons, j'obéis à cet ordre.

  • Vous ne conserverez strictement que ce qui figure sur l'inventaire que vous nous avons expédié. Tout le reste se met dans le sac plastique que vous trouverez dans votre case. Une fois ce tri fait, se trouver en possession d'un autre objet ou vêtement que ceux qui sont autorisés sera un motif de punition. Allons, procédez !

Côté vêtement, je n'avais apporté que ce qui était requis. J'avais dû en acheter certain spécifiquement pour ce séjour. C'était le cas pour le pantalon court qui ne faisait pas partie de ma garde robe habituelle. J'avais également acheté des sous-vêtements conformes aux exigences des sœurs : "en coton blanc, sans fioriture, couvrant la totalité des fesses (les strings, taille basse, caleçons sont prohibés)".

L'inventaire précisait que je devais me munir de 4 culottes afin de disposer de change au cas où je salirai mes sous-vêtements. Cette dernière remarque m'avait fait sourire. Maintenant que j'étais plongé dans une situation que je ne maîtrisais plus totalement, cela me semblait plus menaçant que drôle.

Il me fallu, par contre, me séparer de plusieurs objet familiers : téléphone portable, clés de voiture, portefeuille, eau de Cologne, … tout cela atterrit dans le sac que sœur Gabrielle confisqua jusqu'à dimanche soir. D'un coup d'œil sur le tri que faisaient mes voisins, il me sembla qu'ils se délestaient des mêmes objets. Certains y rajoutaient quelques vêtements, leur appréciation de la rigueur exigée avait dû se modifier depuis leur arrivée dans le couvent.

Ma voisine avait, depuis quelques instants un air ennuyé. Je crus que c'était parce qu'elle avait dû laisser son maquillage dans le sac donné à sœur Gabrielle. Visiblement hésitante, elle leva le doigt.

  • Mademoiselle Pignon, qu'avez-vous à dire ?

  • Ma mère, j'ai gardé un soutien-gorge sur moi. Or, il ne figure pas sur l'inventaire, pourrais-je l'ôter ce soir lorsque je me coucherai ? Je ne le remettrai pas demain …

  • Mademoiselle, je n'ai pas dû être assez claire. Si nos trouvons un vêtement ou objet ne figurant pas sur l'inventaire sur vous ou dans vos affaires, à l'issu du tri que vous effectuez en ce moment, cela sera considéré comme une tentative de dissimulation d'objets interdits, donc une désobéissance caractérisée et volontaire. Avez-vous bien compris ce qui arrive ici aux e n f a n t s qui désobéissent de façon délibérée ? A vous de voir si vous voulez en prendre le risque.

  • Ma mère, puis-je aller l'ôter dans les toilettes ?

  • Il n'en est pas question. Si vous devez ôter des vêtements parmi ceux que vous portez, cela se fera dans cette pièce.

Claudine resta interloquée. Elle ouvrit la bouche pour poursuivre cet échange avec la religieuse, puis elle la referma et prit place sur son banc. Elle resta ainsi sans bouger, puis, des larmes dans les yeux, elle commença à déboutonner son corsage. Elle dû l'ôter totalement pour dégrafer son soutien-gorge, exposant son ample poitrine nue à notre vue à tous. Ses seins, maintenant qu'ils n'étaient plus soutenus par le soutien gorge, semblèrent prendre leurs aises et profiter de cette toute nouvelle liberté pour danser au gré des mouvements que faisait Claudine. Le plus rapidement possible, elle couvrit de nouveau son buste de son corsage. Elle tentait de le boutonner si vite pour retrouver une tenue décente, que les boutons échappaient de ses doigts, laissant béant le corsage avec vue sur sa poitrine.

Aussitôt, Clarisse entreprit la même manœuvre. Elle nous dévoila des petits seins encore fermes avant de les cacher de nouveau sous son corsage.

Bientôt, tout le monde eut terminé cette tâche qui s'était révélée plus pénible que prévu pour certains d'entre nous. Je me réjouissais d'avoir pris les consignes reçues au sérieux. Chacun se tenait de nouveau silencieux, sa valise fermée et posé à côté un sac plus ou moins plein.

Un seul d'entre nous n'avait pas encore achevé cette tâche. Cette situation n'avait pas échappé à la mère supérieure.

  • Dites-moi, jeune homme, avez-vous l'intention de nous faire attendre encore longtemps ? Quel est votre nom ?

Il faillit oublier de se lever pour répondre à la religieuse, mais se reprit juste à temps:

  • Jérôme Murillo, ma mère.

  • Avez-vous un problème ?

  • Je dois, moi aussi changer de vêtement, ma mère.

  • Et bien, faites donc et ne nous faites pas languir.

  • C'est que, ma mère …

Apparemment, le reste de sa phrase n'arrivait pas à passer ses lèvres.

  • Jeune homme, cela suffit, j'attends, sur le champ des explications claires.

  • C'est ma culotte, ma mère. Je dois changer ma culotte et je n'ose pas le faire ici devant …

Il eut un geste du menton pour nous désigner.

  • Monsieur Murillo, je vous donne une minute pour changer de culotte. Passé ce délai, je me charge moi-même de vous l'ôter, mais avant de couvrir votre postérieur d'un nouveau sous-vêtement conforme aux exigences de la maison, je vous promets une bonne fessée.

Il ne lui fallut pas plus de dix secondes pour intégrer cette nouvelle information. Le choix était simple : soit il se déculottait lui-même, soit la mère supérieure s'en chargeait et l'agrémentait d'une fessée. La logique l'emporta. Comme Claudine et Clarisse auparavant, c'est les yeux pleins de larmes qu'il s'exécuta. Il défit le bouton de son pantalon, puis baissa la fermeture de sa braguette. Le pantalon tomba tout seul sur ses chevilles dévoilant un string de couleur jaune fluorescent.

D'une main, il baissa le sous-vêtement jusqu'à ses chevilles. Il plaça sa deuxième main devant son sexe pour le dissimuler approximativement à nos regards. Il s'aperçut alors qu'il ne pouvait l'ôter sans avoir enlevé complètement son pantalon. Sa seule préoccupation était de faire vite pour dissimuler ses fesses et son sexe qu'il exhibait à la vue de nous tous. J'imaginais la honte qu'il dût ressentir de se trouver dans cette tenue. Ses gestes qui se voulaient très rapides étaient en fait maladroits; si bien qu'il mit un long moment avant de se libérer de son pantalon. Ne disposer que d'une main ne lui facilitait pas la tâche. Enfin, il laissa tomber le pantalon sur le sol. Il s'apprêtait, toujours d'une seule main à ôter sa culotte, lorsqu'il fut stoppé dans son élan par la mère supérieure.

  • Apprenez, Monsieur Murillo, qu'ici on ne jette pas ses vêtements par terre. Veuillez plier tout de suite votre pantalon et le poser sur le dossier de votre chaise.

Jérôme ramassa son pantalon. Il fit deux ou trois tentatives pour le plier d'une seule main, ce qui se révéla impossible.

  • Jeune homme, ma patience est à bout. Vous avez une autre main qui, pour l'instant ne sert à rien. Vos tentatives pour dissimuler votre sexe sont pitoyables et inutiles. Vous êtes, certes, le premier à exposer vos fesses en public, vous ne serez pas le dernier. Je ne veux plus de ces simagrées lorsque vous vous trouverez culotte baissée. Vous verrez comment, dans peu de temps, cela vous semblera une situation banale. Continuez donc sans faire toutes ces manières ridicules.

Jérôme s'y prit à deux mains pour plier son pantalon. Cela allait, à l'évidence plus vite. Puis ce fut juste une formalité d'enlever sa culotte.

A côté de moi, presque furtivement, Dominique mit ses mains sous sa jupe et, en se penchant, je la vis enlever une culotte rose. Heureusement, pour elle, la jupe dissimulait ses fesses maintenant nues. Elle sortit une culotte réglementaire de sa valise et l'enfila aussitôt, ne relevant que les côtés de sa jupe pour l'ajuster autour de sa taille, ne laissant voir qu'un peu de peau du haut de ses cuisses. Son changement de culotte était passé presque inaperçu.

Jérôme fouilla fébrilement dans sa valise et en sortant une culotte qui ressemblait aux miennes, il dérangea les autres vêtements en laissant un fouillis désordonné. Il voyait le bout de son calvaire en se préparant à recouvrir ses fesses quand la mère supérieure l'arrêta de nouveau.

  • Veuillez remettre de l'ordre dans votre valise avant d'enfiler votre culotte.

Toujours nu de la taille aux chaussettes, Jérôme replia les vêtements qu'il avait imprudemment dérangé. Alors, sa nouvelle culotte à la main, il leva les yeux vers la mère supérieure, comme pour lui quémander l'autorisation de se reculotter. La religieuse n'en avait pas encore fini avec lui.

  • Apportez-moi cette culotte que je vérifie si elle convient pour ce week-end.

Jérôme avait abdiqué toute fierté. Cul nu, la culotte à la main, il effectua les quelques mètres qui le séparait de la mère supérieure. Ses yeux pleins de larmes montraient combien il lui en coûtait. Il lui tendit le vêtement. La religieuse tendit la culotte entre ses pouces, examina l'intérieur, puis visiblement satisfaite, elle la lui rendit.

  • Retournez à votre place pour enfiler cette culotte.

Elle le fit pivoter devant elle, puis appliqua une claque sonore sur ses fesses nues.

  • La prochaine fois que vous devrez vous déculotter, même si c'est en public, j'espère que vous ne ferez pas toutes ces grimaces. Il vous en cuirait.

Des larmes coulaient silencieusement sur ses joues. Elles ne l'empêchèrent pas de se reculotter et revêtir son pantalon avec diligence. Durant toute cette scène, aucun de nous n'avait émis le moindre son, aucun n'avait fait le moindre geste. Chacun sentait bien qu'il aurait pu se trouver à la place de Jérôme, et pire encore, qu'il se retrouverait bientôt à sa place. Nous commencions à toucher du doigt le niveau d'obéissance qui nous était demandé.

Tous les codes sociaux en vigueur habituellement, ici n'avaient plus court. Notre statut d'adulte n'existait plus. Nous étions des e n f a n t s dont la soumission aux adultes devait être totale. Se déculotter en public, s'y promener cul nu, la claque sur les fesses pour souligner la remontrance, … c'était à un petit garçon de 3 ou 4 ans que s'adressait la mère supérieure, un garçonnet dont les manifestations de pudeur apparaissaient comme des caprices. Cependant, il n'y avait eu aucune protestation. Bien que Jérôme ne fût visiblement pas un petit garçon, son allure ne laissait aucun doute, il en avait adopté le comportement sous la férule de la mère supérieure, sans doute bien heureux de ne pas avoir encouru une punition plus sévère.

Les sacs contenant nos affaires surnuméraires furent noués et entreposés dans une armoire située au fond de la classe.

  • Sœur Gabrielle, il est temps que ces jeunes gens ailent s'installer dans leur dortoir.

  • Oui, ma mère. Il faut cependant que je m'occupe des punis.

  • Vous avez raison, sœur Gabrielle. Je vous laisse procéder, c'est vous qui êtes responsable de cette classe.

Il s'était passé tellement de choses inattendues que j'en avais oublié cette punition qui planait au-dessus de ma tête.

  • Les quatre punis, debout !

En ne précisant pas nos noms, Sœur Gabrielle nous obligeait à désigner nous même, reconnaissant ainsi la légitimité de la punition. Dans le plus grand silence, Frédérick se leva la première. Dominique la suivit immédiatement. Je laissais passer un petit moment afin de vérifier que je n'avais pas fait d'erreur d'appréciation, mais comme personne ne se désignait, je me dressais près de ma table, me promettant de me comporter dignement quelle que soit la rigueur de la punition qui me serait administrée.

Le quatrième, ou plutôt la quatrième ne se dénonçait pas. Sœur Gabrielle laissa un silence profond s'installer. Puis, comme rien ne se passait :

  • Mademoiselle Bénédicte, levez-vous !

Le pli était pris d'obéir immédiatement aux ordres de Sœur Gabrielle. Bénédicte se leva mais ne put se retenir de protester.

  • Mais, ma sœur je n'ai …

  • Silence ! Vous ai-je donné l'autorisation de parler ?

  • Non, ma sœur.

  • Vous êtes déjà dans une situation délicate n'en rajoutez pas ! Arriver en retard, bavardages intempestifs, et vous vous étonnez d'être punie. C'est le contraire qui serait surprenant ! N'est-ce pas, Mademoiselle ?

  • Oui, ma sœur, confirma Bénédicte d'une petite voix.

  • Nous y sommes donc. Les punis, mettez vos mains sur la tête et venez ici.

Il y eut un court défilé vers l'estrade pour nous rapprocher de Sœur Gabrielle. D'un geste, elle nous indiqua de nous aligner devant elle. Mes jambes me semblaient en coton, elles avaient du mal à me faire accomplir les quelques pas qui m'étaient ordonnés. Tous les quatre, mains sur la tête, nous donnions le spectacle de notre parfaite soumission.

Cela demandait une certaine volonté à la pensée de ce qui nous attendait. Mon instinct me commandait de fuir cette situation. Ce qui s'était passé depuis notre arrivée nous avait progressivement mis en condition d'accepter d'être puni par Sœur Gabrielle, aussi humiliant cela fut-il. Aucun d'entre nous quatre ne se rebella, ni refusa de se soumettre à la volonté de la religieuse.

  • Jeunes filles, vous allez relever vos jupes au-dessus de votre taille, et vous, Marc, baissez votre pantalon.

Je n'hésitais pas à défaire le bouton qui retenait mon pantalon à ma taille, puis à faire glisser la fermeture de ma braguette. Mon pantalon tomba sur mes chevilles. A côté de moi, chacune des filles avait troussé ses jupes qu'elles retenaient de leurs mains, laissant bien en évidence trois culottes blanches.

  • Marc, voulez-vous relever votre chemise afin que nous puissions voir votre culotte ?

Je ne me mépris pas sur le caractère interrogatif de la phrase. Je relevais ma chemise et la maintenais au-dessus de mes reins.

  • Ce sont les premières fessées que je vais vous administrer. Je veux donc que vous soyez attentifs afin d'apprendre ce que j'attends d'un puni. Dorénavant je considèrerai que chacun saura se préparer à recevoir la fessée.

Je peux vous assurer qu'à ce moment là, elle disposait de toute notre attention.

  • Toute négligence dans cette préparation augmentera la sévérité de la punition. Mademoiselle Bénédicte en est un exemple démonstratif : elle aurait dû être punie de la même façon que Marc, pour la même faute, en refusant de reconnaitre qu'elle méritait la fessée, elle a juste gagné le droit d'en recevoir une plus sévère. Retenez cette leçon : quand on a mérité une fessée, on doit s'eff o r c e r de la recevoir y compris en se dénonçant.

Je sentis les épaules de Bénédicte s'affaisser légèrement à cet énoncé elle baissa les yeux comme une petite fille honteuse de son comportement.

  • Se préparer à recevoir la fessée suppose, ensuite, de présenter sa culotte afin qu'elle puisse être baissée sans difficulté : les garçons baissent leur pantalon, puis troussent leur chemise, les filles relèvent leur jupe. Il suffit alors de suivre les indications de la personne chargée de vous punir. En ce qui me concerne, je me chargerai moi-même de vous déculotter.

Tout en prononçant ces mots, elle se dirigea vers Bénédicte qui était la plus proche d'elle. Elle glissa ses pouces sous l'élastique de la culotte de la jeune femme et fit glisser le sous-vêtement le long de ses cuisses. S'il y avait eu un doute sur l'imminence de la fessée, celui-ci était maintenant levé : jupe relevée, culotte à hauteur des genoux, Bénédicte attendait sa fessée déculottée.

Placé à côte de Bénédicte, j'étais le suivant. Faisant fi de toute logique, je conservais encore l'espoir que la fessée me serait administrée sur le fond de ma culotte, me permettant ainsi de conserver un semblant de dignité. Sœur Gabrielle se chargea de faire disparaitre cette mince espérance. Je sentis ses doigts se glisser sous l'élastique de ma culotte, puis la baisser en insistant légèrement pour passer mon sexe qui s'était raidit. Ses mains caressaient furtivement la peau de mes cuisses en accompagnant ma culotte jusqu'à mes genoux.

Des larmes coulaient le long de mes joues, sans que puisse les en empêcher, tant mon émotion était forte. C'est le sentiment d'humiliation qui prédominait, humiliation d'être déculotté devant toute la classe et de laisser voir mes fesses et mon sexe à d'autres personnes qui, elles, étaient décemment habillées.

Mes impressions étaient contradictoires. D'un côté j'éprouvais l'urgence de couvrir mon sexe et mes fesses en remontant ma culotte afin de retrouver une tenue plus conforme à mon âge, puis de fuir cet endroit et de ne jamais me souvenir de ces quelques minutes. D'autre part, je savais que la fessée qui m'attendait était méritée et qu'il était dans les prérogatives de Sœur Gabrielle de me déculotter si elle le jugeait nécessaire. J'en avais accepté le principe, il me fallait en supporter l'application. La pudeur n'était plus de mise.

Sœur Gabrielle déculotta de la même façon Frédérick, puis Dominique. Les quatre punis étaient prêt pour recevoir la fessée.

  • Déplacez-vous sur le côté de l'estrade afin que vos camarades aient une vue dégagée sur vos fesses afin qu'ils comprennent bien ce que cela fait de recevoir la fessée déculottée.

Je n'avais jamais encore marché avec un pantalon entourant mes chevilles et une culotte baissée à hauteur des genoux. Cela donne une démarche ôtant toute dignité. En file indienne, tenant nos vêtements relevés nous marchâmes vers le lieu désigné par Sœur Gabrielle. Mon sexe semi érigé ballottait entre mes cuisses à chaque pas et j'avais l'impression qu'il était le point de mire de toute la classe.

  • Bon, il est normal que la sévérité d'une punition dépende de l'importance de ce qui l'a motivé. De plus, comme il s'agit d'une première fois, je serai relativement indulgente. Toutefois, mademoiselle Dominique, vous avez mérité une correction dont je veux que vos fesses se souviennent jusqu'à ce soir. Quant à vous Bénédicte, dans un premier temps je vous administrerai la même fessée qu'à Marc, puis je la complèterais afin de rougir un peu plus substantiellement vos fesses. Commençons par les deux petites fessées.

Je compris alors que je serai l'un des deux premiers. Je priais intérieurement pour être le deuxième.

  • Frédérick, venez ici.

Frédérick sursauta, comme si elle ne s'attendait pas à être appelée. Peut-être avait-elle espéré, comme moi ne pas être la première. Sans vraiment marquer d'hésitation, elle monta sur l'estrade pour se positionner devant Sœur Gabrielle, là où le doigt pointé de la religieuse désignait le sol.

  • Venez plus près, ordonna Sœur Gabrielle tout en écartant son bras gauche.

Je ne sais pas si Frédérick avait l'habitude de recevoir la fessée en tant qu'adulte, ou si elle se souvenait des corrections reçues durant son e n f a n c e , mais elle se positionna sous le bras de Sœur Gabrielle, comme s'il était normal de placer dans cette position. Dans le mouvement, la jupe que Frédérick ne maintenait plus en place, avait glissé, couvrant partiellement ses fesses.

Sœur Gabrielle entoura sa taille de son bras gauche, la courbant un peu plus, puis, elle releva la jupe et la coinça sous son bras. Sentant proche le début de sa correction, Frédérick couvrit ses fesses de sa main droite qui était libre de ses mouvements. Simultanément, je fis le même geste, portant ma main à mes fesses pour les protéger de la correction à venir alors qu'elle ne m'était pas destinée. Fort heureusement, ma main gauche avait suffit à maintenir ma chemise au-dessus de mes reins. Mon comportement passa inaperçu.

  • Enlevez cette main de là tout de suite.

Le ton de Sœur Gabrielle ne laissa pas le choix. Frédérick obéit sur le champ.

  • Ce que vous venez de faire, mademoiselle, est strictement interdit. Vous devez laisser le terrain libre à la personne qui vous corrige. C'est une façon de reconnaître son droit à vous punir et le bienfondé de la punition. N'ayez crainte, vous serez corrigée juste comme il faut, vos fesses suffisamment rouges pour vous ôter l'envie de recommencer ce qui a motivé la punition. Le prochain, ou la prochaine qui tentera de protéger ses fesses aura automatiquement le droit à une deuxième fessée qui lui sera appliquée plus fermement que la première. Quant à vous, Frédérick, je n'en tiendrais pas compte cette fois ci. Vous êtes la première à recevoir la fessée et cela n'est jamais facile de montrer la voie à vos condisciples en cette matière.

Sœur Gabrielle leva son bras haut au dessus de son épaule, puis, visiblement avec le plus de f o r c e possible, elle abattit sa main sur la fesse gauche de Frédérick. Le bruit retentit dans toute la classe, et comme en écho, la jeune femme poussa un cri. Simultanément, elle leva sa jambe gauche, mouvement qui fut limité par sa culotte tendue entre ses genoux. Une deuxième fois Sœur Gabrielle claqua les fesses de Frédérick, sur le côté droit cette fois ce qui fut ponctué par un nouveau cri de Frédérick. Sa main droite amorça alors un geste vers ses fesses, apparemment pour les protéger de la rigueur du châtiment, mais elle réussit à l'interrompre avant de contrevenir aux consignes explicites de Sœur Gabrielle.

Les dix premières claques furent administrées lentement, l'une après l'autre, bien détachées en laissant s'éteindre le bruit qu'elles provoquaient et le cri de Frédérick qui les accompagnait invariablement. Très vite, les gesticulations de ses jambes ne furent plus synchrones. Elle pliait un genou, puis l'autre, lançait de temps en temps un pied en arrière. Tout cela ne gênait en rien Sœur Gabrielle qui ne devait que supporter une partie du poids de la jeune femme. Puis, la religieuse accéléra le rythme. Les fessées claquaient toujours aussi fort, mais elles se suivaient à un rythme endiablé. Les fesses de Frédérick prirent lentement une couleur rose sombre, puis rouge qui devint de plus en plus soutenu. Au changement de rythme, Frédérick se tut.

Seuls de légers râles sortaient encore de sa gorge. Puis, vint un premier s a n g lot, suivit d'un deuxième et la jeune femme se mit à pleurer sans se retenir. Cela n'interrompit pas la fessée. Sœur Gabrielle cherchait visiblement à couvrir toute la surface du fessier qui était à sa disposition. Je regardais hypnotisé, sans pouvoir détacher mes yeux de la peau blanche qui tressaillait à chaque fois que Sœur Gabrielle y appliquait sa main. Enfin, sans que j'eusse pu le prévoir la fessée cessa. Sœur Gabrielle relâcha Frédérick qui se releva. Sa jupe glissa le long de sa croupe en la couvrant. Frédérick, qui s a n g lotait toujours, la retroussa promptement en glissant ses mains sous le vêtement pour le relever afin de masser ses fesses. Ce faisant elle exposa de nouveau son postérieur. Elle fut rappelée à l'ordre par Sœur Gabrielle.

  • Il suffit, jeune fille. Frotter ses fesses atténue les effets de la fessée. Il n'en est pas question. Retroussez plutôt votre jupe pour montrer à toute la classe comment des fesses rougies aident à devenir obéissante.

Malgré ses s a n g lots persistants, Frédérick était attentive aux ordres de Sœur Gabrielle. Elle suspendit son geste, et releva sa jupe comme il lui avait été ordonné, reprenant la position qui avait été la sienne avant de recevoir la fessée.

  • Vous avez décidément de la chance, Frédérick, d'être la première. Le second à frotter ses fesses à la fin d'une fessée en recevra une dose supplémentaire. C'est, en effet, strictement interdit. Il est souhaitable que la douleur éprouvée alors que je vous fesse, continue le plus longtemps possible. Je vous fais grâce, jeune fille, mais ce ne sera pas le cas pour vos successeurs. Reprenez votre place dans l'alignement des punis.

Les s a n g lots de Frédérick s'étaient un peu calmés. Des larmes coulaient encore le long de ses joues et elle reniflait spasmodiquement. Cul nu, elle vint reprendre sa place à mon côté, laissant voir, à toute la classe, ses fesses dont le rouge ne s'atténuait pas. C'était exactement le comportement d'une petite fille qui venait de recevoir la fessée. C'était à s'y méprendre s'il n'y avait eu son corps bien plus développé que celui d'une e n f a n t .

  • Marc, c'est votre tour ! Venez ici !

La fascination éprouvée pendant la correction administrée à Frédérick m'avait fait oublier que j'étais le prochain sur la liste. Comme anesthésié, je ne bougeais pas alors que je me criais intérieurement d'obéir. Mes jambes ne fonctionnaient plus, elles étaient juste assez solides pour porter mon poids, mais pas pour me soutenir alors qu'il fallait que je monte sur l'estrade. Le nœud dans mon estomac devint si dur qu'il m'ôta le peu d'énergie qui me restait.

  • Jeune homme, faut-il que j'aille vous chercher ?
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